Ateliers d'initiation à la céramique avec l'artiste Lorène Roustin
Dans le cadre de l’Été culturel de la DRAC Nouvelle-Aquitaine, l’association Nayart accueille l’artiste Lorène Roustin en résidence du 14 juillet au 4 août 2025.
Lorène vous invite à participer à la création de « Refuges flottants », une installation artistique poétique et engagée mêlant céramique et matériaux de récupération.
Inspirée des formes de parcs aquatiques, cette œuvre collective offrira des abris flottants pour les insectes de la faune locale.
👉 Venez mettre les mains dans la terre lors d’ateliers ouverts à tous (enfants et adultes, débutants bienvenus) :
- Jeudi 17 juillet – 15h30 à 17h00
- Samedi 19 juillet – 15h30 à 17h00
- Jeudi 24 juillet – 15h30 à 17h00
- Dimanche 3 août – 11h00 à 12h30
Chaque participant créera une pièce modelée qui sera intégrée à l’œuvre finale de l’artiste.
📍 Ateliers à la Minoterie (en intérieur ou extérieur selon la météo)
🎨 Gratuit – Réservation conseillée
📞 05 59 13 91 42 – ✉️
Venez découvrir la céramique, partager un moment de création et contribuer à une œuvre collective inspirée par la faune et la flore autour de la Minoterie.
En apesanteur
Du 20 juin au 31 août 2025
Jules Lesbegueris et Jean-Louis Fauthoux
L' exposition d'été 2025 devrait associer le travail de Jules LEBESGUERIS et celui de Jean Louis FAUTHOUX dans une danse contrastée de noir et de blanc.
Jules LESBEGUERIS est un jeune artiste qui explore le charbon comme une matière noire chargée d'énergie et de ressources jusqu'alors inattendues.
Il en aura mesuré la lumière comme le fit un certain Pierre Soulages mais aussi les propriétés physiques lorsqu'il en extrait les coupes, les lamelles et les déformations tectoniques.
Les découpages cadastraux, les visions en plan, les « espaces / temps » révèlent indistinctement une pesanteur de la matière en même temps que la légèreté des architectures aériennes dont l'artiste contrôle les données.
La blancheur striée des papiers, autres architectures aériennes de lumière proposées par Jean Louis FAUTHOUX, est amplifiée par la résonance qu'en livre ce dernier dans l'un de ses livrets intitulé : « Je me défais de l'ombre du poème ».
Le mouvement de l'air, le ras du vide, la transparence, la disparition, l'effacement...
Ces deux artistes évoquent bien une genèse de la nature, ses origines, une poésie nue et vierge débarrassée de ses chimères.