du 11 au 28 mai 2017
Nouvelle exposition de l’artothèque et nouvelle artiste à l’honneur : Caro Worboys !
Cette ancienne photographe devenue artiste plasticienne en 2004 présentera aux visiteurs de la Minoterie ses liens mystérieux qui unissent l’homme et la nature.
Le 19 mai, l’association accueillera une audition-concert des classes de harpe celtique et de flûte traversière de l’école de Musique du Pays de Nay. Pour l’occasion, ce sont les oeuvres sélectionnées par les élèves de l’école qui seront exposées aux côtés de celles de Caro Worboys tout au long du mois de mai. Ce partenariat, entre l’école de Musique du Pays de Nay et la Minoterie mis en place en 2016, permet de créer un lien solide entre les différentes disciplines artistiques et les structures culturelles du territoire. L’exposition de l’artothèque sera pour Nayart l’occasion de mettre la jeune génération à l’honneur. En effet, des oeuvres réalisées par les classes de 5ème du collège Henri IV de Nay seront présentées au public. Elles sont le fruit d’un partenariat né en septembre 2016 et financé par le département du 64 entre le collège et la Minoterie.
Lire la suite : exposition artothèque avec l’artiste Caro Worboys à l’honneur
Programmation 2024
Du 1er mars au 12 mai 2024
De près, au loin...Le paysage au point de perception
Paul Iratzoquy- Jean Lafforgue - Chloé Mossessian- Armand Petitjean
Du 17 mai au 2 juin 2024
L'expo des élèves
Travaux des élèves
Du 13 juin au 8 septembre 2024
L'ici et l'ailleurs du présage
Sourena Parhizkar
Du 20 septembre au 1er décembre 2024
Petit à petit, l'oiseau fait son nid
Thomas Bouquet - Mauricio Gomez Jaramillo -Belem Julien et Mathieu Schmitt - Isabelle Leclercq - Eliane Monnin
Du 6 au 22 décembre 2024
Cadeaux d'artistes
Nayart se réjouit toujours de connaître de nouveaux artistes de qualité. Toutes les candidatures sont examinées avec bienveillance. N'hésitez pas à nous transmettre la vôtre comme indiqué ci-dessous.
Appel spontané à candidature
Contexte
L'association Nayart créée en 1998 par l'artiste Chahab veut favoriser la rencontre entre la création artistique et le public, permettre le développement et l'accès à la culture artistique. Les artistes y trouvent un espace exceptionnel et le public des propositions à chaque fois renouvelées. Plus de 5000 personnes viennent chaque année à Nay voir les expositions, participer à des temps d'échanges et de connaissances, découvrir une pratique lors d'un stage, d'un atelier.
Activités : Expositions, conférences, rencontres avec les artistes, ateliers, stages sont autant d’actions menées toute l'année par l'association Nayart à la Minoterie auprès du grand public et des scolaires. Son artothèque est aussi une façon de familiariser le public avec l'art contemporain. Un système de prêt permet de louer des peintures, dessins, céramiques, sculptures grâce à la confiance des artistes qui laissent leurs oeuvres en dépôt
Objectif
- Exposer à la Minoterie à l’occasion d’une des grandes expositions de Nayart
- Et/ou faire entrer ses oeuvres dans l’artothèque et les proposer à la location
Conditions matérielles
L’association Nayart se charge :
- de promouvoir l’exposition et prend à sa charge toute la communication
- assure aussi la communication auprès des médias (radios, presse locale et spécialisée et télévision).
- prend en charge les frais liés au vernissage de l’exposition.
- gère les temps d’ouverture du lieu, l’accueil du public et l’encadrement des ventes.
Candidature
L'appel à candidature s'adresse à des artistes (peintres, photographes sculpteurs…) professionnels ou inscrits en école d'art. Comité de sélection Un comité, composé d’artistes et non-artistes, étudiera toutes les propositions et sélectionnera les artistes.
Dossier de candidature
Un texte de présentation de l’artiste et de sa démarche. - un CV - un texte de présentation des oeuvres avec visuels (correspondant aux oeuvres que l’artiste souhaite présenter).
Le dossier de candidature est à envoyer par courrier ou courriel
Contacts
Association Nayart
22 chemin de la Minoterie 64800 NAY
Téléphone : 05 59 13 91 42
Courriel :info
du 1er octobre au 3 décembre 2017
Avec cette nouvelle exposition La Minoterie et Le Hangar, soudent définitivement leur partenariat. Les deux associations souhaitent faire rayonner l’art contemporain et ses artistes dans tout le département des Pyrénées Atlantiques.
« Face à l’oeuvre de l'artiste, nous pénétrons au coeur de mondes étranges et fascinants où se mêlent une minéralité surréelle et une histoire secrète. Des formes presque biomorphiques s'articulent dans un métal lourd et aérien ou émergent en noir sur la surface laiteuse de grandes toiles.
Les figures figées dans la matière semblent avoir existé un temps. Elles n'ont pas totalement disparu. Des êtres et des formes surréalistes en apparence tant sculptés que dessinés entretiennent une familiarité avec une sourde origine. Par sa « beauté fragmentée », ce monde pourrait être, comme un « heurt » mais aussi comme une résurgence.
Au bourgeonnement et à la prolifération de la nature, de la terre et de la vie se superpose une allégorie poétique. Celle que lui opposent l'homme et le poète. Des milliers de monde à l'intérieur du monde de l'homme que ce dernier n'avait cessé de cacher, disait Pierre-Jean JOUVE dans « sueur de sang », surgissent comme autant de rêves activés, nourris par les mythes et les fantasmes.
Comme il est écrit au sujet de l'artiste, la présence obsédante de la mémoire multiplie les traces, les conforte et les métamorphose. L’artiste opposerait-il à la nature une réalité parallèle en mutation ? Comme dans les sculptures de Michel-Ange, dans ce qui reste de matière brute, les oeuvres de Mendizabal ressemblent à des peaux originelles ou à des mues fragiles.
Le poète semble tenir le mystère à bonne distance, ce qui le rend fascinant. »
Alain-Jacques Lévrier-Mussat
du 23 mars au 13 mai 2018
Alain-Jacques Lévrier-Mussat et Bruno Bienfait
« Des carrés bleus, aux incertaines découpes iridescentes, comme des périmètres de lumière qui contiennent des fragments d'immanence,
Des totems, comme des passages qui relient les profondeurs, entre ciel et terre, entre le visible et l'invisible.
la gravure de l'onde sur le bois et la toile,
Des gouttes d'eau comme des partitions,
Des notes comme des rivières,
Des chambres optiques laissant entrevoir par un oeilleton une architecture de lumière infinie,
Des dessins de lignes, opaques et translucides, comme des flottaisons, qui organisent l'espace,
l'expression de rythmes et de présences indicibles,
L'infini dehors pris sous la découpe tendue de l’oeil,
Une géométrie aléatoire contenue dans la matière et dont les artistes s'efforcent de dégager l'essence ».
Photographies du vernissage du vendredi 3 mars 2017
exposition "traits essentiels"
Marine Bourgeois, Laure Duboé, Denise Samson-Dissès Mario Roucaute et Robert Boutiq
Voir les photos du vernissage de l'exposition "traits essentiels"
du 3 mars au 30 avril 2017
Marine Bourgeois, Laure Duboé, Denise Samson-Dissès Mario Roucaute et Robert Boutiq
« En 1911 était publié l'ouvrage fondamental de Kandinsky « du spirituel dans l'art et dans la peinture en particulier ». Largement occulté pour de multiples raisons, il ne fut traduit en français qu'en 1949. L'artiste y affirmait contre le matérialisme ambiant qu'une œuvre d'art n'avait pas vocation à être belle, plaisante ou agréable.
Qu'elle ne pouvait avoir d'existence en raison de sa seule apparence ou de sa forme qui réjouit nos sens et qu'ainsi donc, clairement, la valeur de la peinture ne peut être d'ordre esthétique. Une éthique sévère se dessine alors contre un principe de séduction considérant que l’œuvre n'a de sens ultime que lorsqu'elle est apte à provoquer les vibrations de l'âme puisque l'art est le langage de l'âme et que c'est le seul.
Le langage purement abstrait était né, dessinant deux extrêmes : D'un côté, un lyrisme qui devait épancher la couleur jusqu'à l’éclaboussure et de l'autre un ascétisme géométrique, hermétique et cérébral. Ce que Kandinsky décrivait comme « une nécessité intérieure », la manifestation de l'homme honnête, l'homme en quête de lui-même, a été interprétée d'une façon radicale comme une posture devant nécessairement dépasser une situation de subordination vis-à vis de la nature.Pour toute une école rejetant la figuration, l'absolue création ne devait plus dépendre de l'imitation des formes du modèle naturel.
Face à cette exigence excessive, c'était encore se méprendre sur le fait que si une œuvre ne représente pas une « chose extérieure », elle fait pourtant aussi bien partie du monde. Elle s'inscrit dans un tout et dans un panthéisme que redécouvriront les romantiques. Éclatera alors cette possibilité d'exprimer par la forme élémentaire peinte (un point, une ligne, un trait, une courbe ou encore un hiéroglyphe) une « incarnation de l'être ». Mais pour être parfaitement juste, cette histoire remonte à la nuit des temps, dans les lointaines cultures que notre civilisation occidentale ignore.
du 9 juin au 3 septembre 2017
peintures / photographies / films
Vernissage de l’exposition le Vendredi 9 juin à partir de 18h30
« Ce « Regard en Partage », c’est à la fois celui des artistes qui m’ont ému. Celui que j’ai posé sur leurs oeuvres. Et le regard plus commun que depuis toujours j’ai porté aux êtres, aux choses, aux paysages, qui touchaient ma sensibilité. Puisque c’est chaque fois, ce qui s’offre à nous, qui enclenche le processus photographique.
Dans les propositions infinies qui recouvrent l’acte de vivre, si j’écarte ici musique et littérature, j’ai le plus souvent choisi la peinture des uns, la sculpture des autres… Pour en livrer mon sentiment, j’ai toujours alterné entre la photographie, le cinéma, et l’écriture. Mais ce désir de vouloir faire comprendre leur création m’a inévitablement rendu dépendant de leurs oeuvres. Elles furent au long de ma vie, des compagnes silencieuses et indispensables. Incidemment ce choix a fait de moi ce que faussement on nomme « un collectionneur ». Car il ne s’agit pas d’amasser, mais juste d’avoir besoin, de vivre avec les oeuvres des autres.
C’est donc bien un Regard en partage que je vous propose, puisqu’il s’agit aussi de votre regard, sur tous ceux qui ici s’entrecroisent : Les oeuvres des artistes que j’ai aimés, les photographies que j’ai pu faire d’eux-mêmes ou de leur lieu, tout autant que les images saisies au long de mon chemin parce qu’elles ont su m’appeler.
Enfin les films qui parcourant ces mêmes territoires, tentent de vous dire ce que j’y ai trouvé. Histoire de livrer ma petite musique dans le concert infini des possibles, et dans le silence du reste. »
michel dieuzaide
du 2 au 23 décembre 2017
21 artistes proposent leurs œuvres au prix maximum de 100 euros quelle que soit la valeur de l’œuvre.
Nouveauté cette année : Des grands formats seront aussi proposés au prix maximum de 500 euros !
Artistes
Joan Beall - Jérome Bouscarat - Chahab
Isabelle Crampe - Pierrette Cubero - Dariush
Marie-Noëlle David - Lionel Henry - Françoise Hillemand
Alain Huet - Cécile Izambert - Olivier Jaffé
Alain-Jacques Lévrier-Mussat - Marie-José Maleville - Iris Miranda
Mati Moreno - Fabienne Percheron - Valérie Perlein
Sọen - Charlie Tastet - Anna Turlais